Nameless

Damn

J’en parlais depuis plusieurs mois déjà, je me moquais de moi-même, me traitant de zombie sans émotions, en train de pourrir de l’intérieur.
C’est arrivé, c’est enfin arrivé, je n’ai plus envie de vivre.
Cela peut paraître dérisoire, voire risible même, mais c’est la réalité.
Pourquoi ne pas me trancher les veines dans ce cas me direz-vous ?

Putain ce que j’aimerai ! J’aimerai avoir cette envie de mort imminente, plus rien n’aurait de sens, plus aucun espoir, plus que de la souffrance et des larmes.
Mais non. Non, même cela ne me tente pas.

Franchement, je m’impressionne, de ne jamais avoir eut cette pulsion, d’entendre le sang qui parcoure mon corps, quand soudain, je le vois de nouveau.

Je n’ai juste plus envie. Plus envie de faire d’effort, aucun.
J’ai toujours gardée cette part de coquetterie car cela fessait "trompe la mort " de mon point de vue. Une personne bien apprêter n’éveille pas les soupçons voyons, quelqu’un qui parle, qui rie et écoute ne peut qu’aller bien isn’t it ?

J’ai franchi un cap, le néant. Je ne me réveille plus avec l’espoir que ma journée sera belle, je me suis coupée du monde, la vie sociale dans laquelle j’ai investie tant de temps ne m’ennuie au plus haut point. Seule ma mère trouve grâce à mes yeux, ce sont mes derniers efforts, je m’engage chaque jour à faire un pas vers elle pour ne pas qu’elle ce sente mal à mon propos, même si c’est déjà le cas.
Elle ne m’aide pas, ne me questionne pas, mais j’entend son cerveau pleurer de rage de ne pas me comprendre.

J’ai envie de mourir, et je l’ai dit, à une personne. - Histoire -
Mikaël allait mal, à cause de sa copine, il a harcelé toute ces connaissances afin de trouver un vide penser . Nous sommes proche en tant normal, alors je suis bien entendue, la bonne poire qui a finie par craquer et lui proposer de venir à la maison. Avec mon humeur massacrante, mon corps sale dépourvue de toute compassion.
Je l’ai reçu chez moi, il c’est plain, longtemps, et j’étais là à faire semblant que cela m’importer. Il a dormi à la maison, puis vers onze heures et demi à fini par me demander si ça présence me déranger.
Je crois que ma réponse négative ne lui a pas plus car il est partit dehors téléphoner à son meilleur ami.
Alors à mon habitude, j’ai mi The Big Bang Theory et me suis endormie.
Le lendemain, nous avons eut une conversation sur sa copine encore et encore.
Puis soudainement, j’ai tentée ma chance : " Mika, puis-je être honnête ?
- Non non
- Je n’ai plus envie de vivre
- D’accord, pourquoi ?
- Je ne sais pas, cela m’a prit un matin.
- Okay, on fait quoi auujourd’hui ?"

C’est fabuleux, vous ne trouvez pas ?
Bordel, à qu’elle époque ce genre de chose est-il sensé être ignoré ?
Je sais que je ne mettrai pas fin à mes jours, mais MOI je suis au courant du pourquoi du comment !

Il est resté une nuit de plus et le lendemain j’ai craqué; vers cinq heures de l’après-midi, très fière de lui, il m’annonce : " Ah, je n’ai envoyé aucun message à Cherry de toute la journée
- Et alors ? Tu veux une médaille peut-être ? "

Je l’ai vexée, à tel point que depuis ce moment là, je n’ai eut aucune nouvelle.
Heureusement qu’aucun de mes amis ne s’inquiète pour moi, sinon, j’aurai pu me pendre dans mes toilettes et y rester en décomposition pendant des jours.

Bdfuajlhd cviozrjnef ,;casnjzbhdvednaklmqdfkvgbnjf,d;lmsùzdl;fngb gdf,d;qamù, et de tout coeur,
Mia