Nameless

Vivre dans sa propre boucle

J’aimerai écrire une histoire, mon histoire. Peut-être cela pourrait-il lui donner un sens ? Cela pourrait-il, peut-être donner un sens à ma vie.
Le problème, comme si il était maître dans son domaine , est qu’il faut un commencement. Tout nécessite un début et une fin.
Je ne me rappelle que très vaguement des vingt dernières années. Il y a sûrement des raisons à cela mais je ne suis pas certaine de toutes les connaître ni de savoir leurs impacte exacte sur le cerveau que je porte aujourd’hui.
Alors pour faire une description sommaire de votre narrateur, disons que .. je ne peux pas faire cela. Je n’arrive pas à décrire la personne que je suis. Navrée, peut-être plus tard .

Je me sens si mal, depuis si longtemps que ma vision du monde a été changer. J’ai d’abord commencer par constater que je ne pouvais faire la différence entre les personnes qui m’apprécier et les autres. Comme si il était improbable que ma personne puis être assez agréable pour avoir des amis. Puis, ma conversation a disparue, mystérieusement, car ce que j’ai a dire n’intéresse que moi, la musique, Fleetwood Mac, Joy Division & Pink Floyd jusqu’au frontière de l’univers, le cinéma, l’exaltation des sentiments, la vision d’un doux passé à travers une lentille. Les utopies, un monde perdu qui peine à flotter à a surface quand tout un tas de pièce de monnaie ce regarde le nombril au cas où il ne ressemblerait pas suffisamment à celui des autres. Les drogues, à que dire, cela ferrait tout de suite débats, car la fin est proche mes très cher paires, de nos jours, les filles savent rouler des joints, enfer et damnation ! Non, plus sérieusement, c’est un sujet épineux seulement car la deuxième dimension est ouvert à tous, si l’Homme par nature n’était pas fait d’excès et n’avait pas perpétuellement en tête d’impressionner son voisin, beaucoup de chose ne ce produirait pas. Décortiquer un humain à tel point que sa gestuelle s’entend jusqu’à mon œil. Pouvoir voir au delà de la doctrine de penser unique et chrétienne, pouvoir aider ceux à qui on a livrer un cerveau trop gros pour une si petite tête, ceux pour qui ce rendre aveugle était la dernière solution, ceux qui n’ont pas le choix. Des choses simple, oui, je sais. Mais maintenant, elles n’ont plus aucune valeur, plus aucun goût.
La suite logique fut de perdre l’appétit, le sommeil, le courage, la motivation, l’envie puis la parole.
Il aurait été si aisé d’avaler trois cachets par jour histoire de faire les niveaux quotidiennement. Mais non, pour certaine pathologie, ce traitement ne fonctionne pas.

Je suis une enveloppe corporelle et autour de moi gravite le reste de mon âme. C’est d’une facilité enfantine. Non, vraiment, quand rien de nouveau ne vous touche. Être un zombie. Chercher sans cesse une proie et n’être satisfait , jamais, ce contenter de regarder le cadavre de notre dernier repas mentale, lâcher un « fait chier » puis repartir en grognant le pied traînent au sol pour une nouvelle quête de liberté.

Arrêtez-vous un moment et questionnez vous.
De quoi avez-vous envie ?
Amour ? Chance ? Super-pouvoirs ? Résurrection peut-être ?
Okay, plus réaliste.
Voyage ? Chat ? Hamburger ? Ou Pizza ? Plage ? Voiture ? Yaourt ? Sieste ?
Il y a sûrement quelque chose qui vous tente, Pouvez-vous alors imaginer, une absence totale de désir ? Faire des choses par pure réflexe ou obligation, ce sentir coupable de blesser alors qu’on ne sait pas comment cela c’est produit. Sentir la tristesse, le désespoir et la solution que vous provoquez sans comprendre pourquoi personne ne voit.

L’Homme est-il réellement altruiste ?
Quelque chose que je n’ai jamais pu oublier, moi aussi.

Demain, j’aurai sûrement oublier ça, tant pis, ça aurait été cool.