J’ai choisit d’illustrer mes émotions. C’est bien moi, toujours le même visage, le même contenant, sans le même contenu, jamais.
Je souffre, mon esprit souffre, mais mon corps le sait et se tait. Il ne désire pas montrer ce qu’il abrite au monde. Alors que c’est bien comme ça que les autres me voit : 1.70, 50. Ratio taille/poids négatif - Quelle chance !- la réalité est une phobie de se laisser aller, une sorte de besoin viscéral d’être ce que l’on fait de plus appréciable, un héritage familial ; l’oration, - mais quelle belle oration ! - cache un mutisme latent de ne pas dire le mot juste, une peur du ridicule ; l’apparence - tu es toujours bien apprêter, quel sens du style !- c’était la seule chose qui échappée à mon contrôle depuis qu’elle m’avait libérer à l’adolescence, le reflet de ce qui pourrait-être, l’ombre l’a envahit elle aussi.
J’illustre mon ombre, dans à un moment hors du temps car je suis moi-même autre durant la création. J’écris autre, je pense autre et je photographie avec un œil unique à cet instant T, que je ne retrouverai jamais.
Peut-être demain aurais-je changé d’avis et je trouverai tout cela complètement désuet. Je me languirai d’avoir pu faire autrement, folie immuable.
J’attend demain, mais je ne sais pas ce qu’il sentira.
C’est peut-être ça le problème, les. J’attend l’odeur de demain comme une nouvelle naissance d’or et de sang.
Mon esprit m’a-t-il corrompu au point de me faire miroiter un leur, avec pour but de me garder en vie ?
Mauvais dessin, honte, punissions et boucle ?
Peut importe.
Si j’ai envisagé ceci, c’est soit faux parce que justement j’y aurais pensé, soit le revers de la boule de narcissisme : si tu n’es pas bon, si c’est trop dur d’essayer, soit mauvais et tu brilleras.
Je ne suis pas assez atteinte pour ça encore.
""""""Je crois que c’est légèrement Bordeline si j’écris ça dans mon dossier.
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Je savais que je ne devais pas regarder American Horror Story. Cela a beau être ma série préférée, le personnage de Ally me fait peur.
Je ne peux pas devenir comme ça, j’ai si peur.
Mais que faire alors ?
Je ne peux pas rester à la maison, je ne peux pas aller à l’école, je ne peux pas dormir, je ne peux pas manger, je ne peux pas parler.
" Mais tu as toute la vie devant toi, tu es belle, intelligente, tu pourrais être ce que tu veux.."
Je me moque de tout ça, à quoi cela sert si moi je ne m’en rend pas compte ? Si je suis incapable de voir tout ça ?
A quoi cela sert d’avoir la vie devant soit si c’est pour la passée comme ça ?
Hier soir, j’ai rêvée de Pierre. Ma '' relation '', si je puis l’appeler ainsi, avec lui n’en a jamais été une. Avec déshonneur je vais tenter expliquer.
En Juin 2015, après une année d’agoraphobie et de fumette à l’extrême, ma relation avec mon père et sa femme au plus mal, des études bâclés et une promesse d’avenir bafouée, Charlotte m’a fait rencontrée un groupe d’amis qu’elle connaissait depuis bien quatre ans. Composée en cas-y totalité de garçon geek et plus âgé.Cela a été mon aubaine et ma perte.
Une aubaine parce que pendant un temps, j’ai crue avoir trouvée ma place. Même si je n’arrivai pas vraiment à discuter avec eux car je ne trouvais jamais rien d’assez intéressant à dire, être entouré de gens qui ne connaissait pas mon cerveau défaillant, qui étaient plus mature, cela fut très plaisant.
Ma perte car je suis tombée éperdument amoureuse d’un, que j’ai couchée avec un autre et me suis servit de Pierre car il croyait pouvoir me sauver.
Pierre, c’est la personne la plus généreuse, gentille et attentionnée qui m’est été donner de rencontrer. Il s’est éprit de moi alors que je n’avais rien fait pour, puis réaction en chaîne :
Je n’ai plus pu le toucher dès que j’ai compris cela --> il avait un appartement et un chat --> il "tait en permanence au petit soin avec moi --> je suis une fille égoïste, méchante et je l’ai découvert avec cela , profiteuse.
Cela me fait toujours énormément souffrir aujourd’hui, de lui avoir fait tout ce mal, d’être partit à l’autre bout du monde sans rien lui dire après tout ce qu’il a fait pour moi. Il me manque, vraiment.
Enfin, je n’en suis pas sûr car ma mémoire ne me permet pas de me souvenir de lui comme je le devrais.
En réalité, la seule chose dont je sois sûr, c’est que si jamais il me le demandai, je l’épouserai.
Je suis contre le mariage, contre la monogamie, mais avec ce geste, je serai certaine que personne d’autre ne lui fera autant de mal que je l’ai fait.
Pierre, je te demande pardon, je te jure de revenir un jour, en pleine forme, avec un vrai cerveau capable de me faire rire et sourire. Je te donnerai tout ce que je possède pour me rachetée, je te le jure, je ferai tout.
Ton Chat.
]]>Je suis rentrée à l’école depuis un peu plus d’une dizaine de jours. Cela ne me déplaît pas trop. Au moins cela m’occupe et me permet de mettre des mots sur ce que je sens en moi de manière permanente.
Je n’ai même plus envie de fumer. La seule chose qui m’a toujours remontée le morale au moins de 0.01%. Réduite à néant.
Je continue par pure habitude. Même le faite de me dire que j’arrive pour l’instant à combiner les deux. Même le faite que j’allai enfin pouvoir prouver que ,s’élever chaque soir spirituellement et toute la journée intellectuellement, était possible ne m’enchante plus.
J’attend la mort, les yeux lourds et le corps froid. Inanimé j’espère secrètement ne jamais me réveiller.
Incapable de me trancher la gorge, j’ai quand même réussit à me briser la main en l’enfonçant dans ma colère envers tout ceux qui ne me voient plus que comme une amère vielle femme de vingt ans.
Je commence à me faire à l’idée que personne ne viendra me sauver. Je ne sais d’ailleurs pas comment j’ai pu envisager cela au vu du fait que les humains me fuient comme la petite vérole. Ils s’éloignent de moi et change de trottoir comme ils le font avec les mutilés.
C’est une idée, plonger mon visage dans de l’eau bouillante.
A méditer
Mia ou ce qu’il en restera, peut-être demain ?
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Ma mère m’a contrariée. Pour rien qui plus est, une histoire avec l’école et les papiers, as usual, les choses qui me font perdre mon sang froid.
Ce qui n’a pas aider ce fut sa réflexion quelques heures plus tôt :
'' Si seulement tu étais manuelle .. "
MAIS QUELLE BLAGUE ! Je n’ai rien entendue d’aussi stupide depuis longtemps ! Moi ? Pas manuelle ? Quelle ironie .
J’ai fait un bac arts plastiques, j’ai fait les beaux-arts, j’ai crée des vêtements, je fais de la pâtisserie, aménagé ma chambre avec un système qu’ils croyaient improbable !
Pourquoi personne ne s’en souvient ?
Evidemment, parce que Mia n’est qu’une feignante, qu’elle est paresseuse, une junkie qui ne pense qu’à son cannabis. C’est tellement humiliant, au point que j’en pleure en l’écrivant.
Bon Dieu, cette femme m’a vue grandir, elle seule peut voir le changement dans mon comportement, elle mieux qu personne.
Mais non, évidemment, parce que Mia n’est qu’une feignante, qu’elle est paresseuse, une junkie qui ne pense qu’à son cannabis.
J’ai enfin droit à l’oscar de la meilleure actrice dans ce cas. Si personne ne remarque je me meurs au fil des jours.
Aidez-moi, je suis incapable de me tuer, seulement de continuer à avancer tête baisser, pour que personne n’identifie la détresse de mes yeux. Plus de '' il faut être patient mademoiselle " , " c’est la crise d’adolescence, c’est normal ", " c’est ta divergence qui veut cela, tu es très intelligente ", " c’est dans ta tête "
OUI C’EST DANS MA TÊTE ! Effectivement, vous avez deviner ! Quel œil expert !
MAINTENANT, SORTEZ CELA DE MA TÊTE, AIDEZ-MOI !
Putain ce que j’aimerai ! J’aimerai avoir cette envie de mort imminente, plus rien n’aurait de sens, plus aucun espoir, plus que de la souffrance et des larmes.
Mais non. Non, même cela ne me tente pas.
Franchement, je m’impressionne, de ne jamais avoir eut cette pulsion, d’entendre le sang qui parcoure mon corps, quand soudain, je le vois de nouveau.
Je n’ai juste plus envie. Plus envie de faire d’effort, aucun.
J’ai toujours gardée cette part de coquetterie car cela fessait "trompe la mort " de mon point de vue. Une personne bien apprêter n’éveille pas les soupçons voyons, quelqu’un qui parle, qui rie et écoute ne peut qu’aller bien isn’t it ?
J’ai franchi un cap, le néant. Je ne me réveille plus avec l’espoir que ma journée sera belle, je me suis coupée du monde, la vie sociale dans laquelle j’ai investie tant de temps ne m’ennuie au plus haut point. Seule ma mère trouve grâce à mes yeux, ce sont mes derniers efforts, je m’engage chaque jour à faire un pas vers elle pour ne pas qu’elle ce sente mal à mon propos, même si c’est déjà le cas.
Elle ne m’aide pas, ne me questionne pas, mais j’entend son cerveau pleurer de rage de ne pas me comprendre.
J’ai envie de mourir, et je l’ai dit, à une personne. - Histoire -
Mikaël allait mal, à cause de sa copine, il a harcelé toute ces connaissances afin de trouver un vide penser . Nous sommes proche en tant normal, alors je suis bien entendue, la bonne poire qui a finie par craquer et lui proposer de venir à la maison. Avec mon humeur massacrante, mon corps sale dépourvue de toute compassion.
Je l’ai reçu chez moi, il c’est plain, longtemps, et j’étais là à faire semblant que cela m’importer. Il a dormi à la maison, puis vers onze heures et demi à fini par me demander si ça présence me déranger.
Je crois que ma réponse négative ne lui a pas plus car il est partit dehors téléphoner à son meilleur ami.
Alors à mon habitude, j’ai mi The Big Bang Theory et me suis endormie.
Le lendemain, nous avons eut une conversation sur sa copine encore et encore.
Puis soudainement, j’ai tentée ma chance : " Mika, puis-je être honnête ?
- Non non
- Je n’ai plus envie de vivre
- D’accord, pourquoi ?
- Je ne sais pas, cela m’a prit un matin.
- Okay, on fait quoi auujourd’hui ?"
C’est fabuleux, vous ne trouvez pas ?
Bordel, à qu’elle époque ce genre de chose est-il sensé être ignoré ?
Je sais que je ne mettrai pas fin à mes jours, mais MOI je suis au courant du pourquoi du comment !
Il est resté une nuit de plus et le lendemain j’ai craqué; vers cinq heures de l’après-midi, très fière de lui, il m’annonce : " Ah, je n’ai envoyé aucun message à Cherry de toute la journée
- Et alors ? Tu veux une médaille peut-être ? "
Je l’ai vexée, à tel point que depuis ce moment là, je n’ai eut aucune nouvelle.
Heureusement qu’aucun de mes amis ne s’inquiète pour moi, sinon, j’aurai pu me pendre dans mes toilettes et y rester en décomposition pendant des jours.
Bdfuajlhd cviozrjnef ,;casnjzbhdvednaklmqdfkvgbnjf,d;lmsùzdl;fngb gdf,d;qamù, et de tout coeur,
Mia
Pour suivre les dires du Docteur Pot, ma thérapie est simple : il faut que je me fasse plaisir.
Doux Jésus que c’est difficile, fatiguant même de n’avoir aucun désir et de devoir s’arracher la peau du crâne pour entrevoir une pauvre envie insignifiante. Puis, je ne suis pas sur qu’avoir envie du bière est très ''saint'' en sois.
Je suis incapable de vivre seule, incapable de supporter la compagnie.
Oui, c’est tout à fait ça, je suis bonne à jeter.
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Je me sens si mal, depuis si longtemps que ma vision du monde a été changer. J’ai d’abord commencer par constater que je ne pouvais faire la différence entre les personnes qui m’apprécier et les autres. Comme si il était improbable que ma personne puis être assez agréable pour avoir des amis. Puis, ma conversation a disparue, mystérieusement, car ce que j’ai a dire n’intéresse que moi, la musique, Fleetwood Mac, Joy Division & Pink Floyd jusqu’au frontière de l’univers, le cinéma, l’exaltation des sentiments, la vision d’un doux passé à travers une lentille. Les utopies, un monde perdu qui peine à flotter à a surface quand tout un tas de pièce de monnaie ce regarde le nombril au cas où il ne ressemblerait pas suffisamment à celui des autres. Les drogues, à que dire, cela ferrait tout de suite débats, car la fin est proche mes très cher paires, de nos jours, les filles savent rouler des joints, enfer et damnation ! Non, plus sérieusement, c’est un sujet épineux seulement car la deuxième dimension est ouvert à tous, si l’Homme par nature n’était pas fait d’excès et n’avait pas perpétuellement en tête d’impressionner son voisin, beaucoup de chose ne ce produirait pas. Décortiquer un humain à tel point que sa gestuelle s’entend jusqu’à mon œil. Pouvoir voir au delà de la doctrine de penser unique et chrétienne, pouvoir aider ceux à qui on a livrer un cerveau trop gros pour une si petite tête, ceux pour qui ce rendre aveugle était la dernière solution, ceux qui n’ont pas le choix. Des choses simple, oui, je sais. Mais maintenant, elles n’ont plus aucune valeur, plus aucun goût.
La suite logique fut de perdre l’appétit, le sommeil, le courage, la motivation, l’envie puis la parole.
Il aurait été si aisé d’avaler trois cachets par jour histoire de faire les niveaux quotidiennement. Mais non, pour certaine pathologie, ce traitement ne fonctionne pas.
Je suis une enveloppe corporelle et autour de moi gravite le reste de mon âme. C’est d’une facilité enfantine. Non, vraiment, quand rien de nouveau ne vous touche. Être un zombie. Chercher sans cesse une proie et n’être satisfait , jamais, ce contenter de regarder le cadavre de notre dernier repas mentale, lâcher un « fait chier » puis repartir en grognant le pied traînent au sol pour une nouvelle quête de liberté.
Arrêtez-vous un moment et questionnez vous.
De quoi avez-vous envie ?
Amour ? Chance ? Super-pouvoirs ? Résurrection peut-être ?
Okay, plus réaliste.
Voyage ? Chat ? Hamburger ? Ou Pizza ? Plage ? Voiture ? Yaourt ? Sieste ?
Il y a sûrement quelque chose qui vous tente, Pouvez-vous alors imaginer, une absence totale de désir ? Faire des choses par pure réflexe ou obligation, ce sentir coupable de blesser alors qu’on ne sait pas comment cela c’est produit. Sentir la tristesse, le désespoir et la solution que vous provoquez sans comprendre pourquoi personne ne voit.
L’Homme est-il réellement altruiste ?
Quelque chose que je n’ai jamais pu oublier, moi aussi.
Demain, j’aurai sûrement oublier ça, tant pis, ça aurait été cool.
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