Nameless

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Je n’ai envie de voir personne. Cela est-il si compliqué à comprendre ?
Devoir faire des efforts sociaux est relativement compliquer quand votre vie ce résume à jouer & fumer. D’ici Septembre, je pourrai raconter mes sujets d’étude, ce sera déjà plus aisé de converser avec des adultes.
Pourquoi quand ma mère désire être seule, tout le monde ce pli il sous son joue ? Si je ne sors pas, si je ne vois pas mes ''amis'', si je ne skype pas ce n’est pas pour rien.
Mais évidemment que non, quand d’aspect tout semble fonctionner, pourquoi alors ne pas ce sociabilisé ?
Parce que je suis brisée, lassée de faire comme si le monde tourné rond, fatiguée d’ouvrir les yeux chaque maintenant en me demandant si aujourd’hui sera enfin doux.
Je n’en peux plus, de faire comme si j’avais un avenir, de faire semblant d’être humaine, de devoir me forcer à avaler de la nourriture qu’il a toucher avec ses doigts et puis les enfants .. ! Je haie les enfants, autant pour leur naïveté que leur impolitesse. Marianne était un enfant différent, une divergente à l’état pur. Avec qui jouer aux échecs ou faire la cuisine était plaisant parce qu’elle voulait en savoir plus, toujours plus.
Mais est-ce bon pour une enfant de quatre ans de vouloir vivre comme quelqu’un de dix-sept ?
Ah le passé, chose immatériellement douloureuse.

Pour suivre les dires du Docteur Pot, ma thérapie est simple : il faut que je me fasse plaisir.
Doux Jésus que c’est difficile, fatiguant même de n’avoir aucun désir et de devoir s’arracher la peau du crâne pour entrevoir une pauvre envie insignifiante. Puis, je ne suis pas sur qu’avoir envie du bière est très ''saint'' en sois.

Je suis incapable de vivre seule, incapable de supporter la compagnie.

Oui, c’est tout à fait ça, je suis bonne à jeter.